AFTER SHOW

Que reste-t-il après le spectacle ? Et après la vie ?

 

Une création du Collectif L’Avantage du doute

De Mélanie Bestel, Judith Davis, Claire Dumas, Nadir Legrand et Maxence Tual

 

Avec

Claire Dumas, Charline Grand, Nadir Legrand, Manuel Peskine et Maxence Tual.

Et en alternance : Servane Ducorps, Joseph Kempf, Jean-Luc Vincent.

 

DIRECTION MUSICALE ET ARRANGEMENTS • Manuel Peskine

SCÉNOGRAPHIE • Lisa Navarro

LUMIÈRES • Mathilde Chamoux

SON • Isabelle Fuchs

COSTUMES • Marta Rossi

RÉGIE GÉNÉRALE • Nicolas Barrot

STAGIAIRE MISE EN SCÈNE • Léa Freimovitz

STAGIAIRE SCÉNOGRAPHIE • Lisa Notarangelo

PRODUCTION • ADMINISTRATION • DIFFUSION  • Marie Ben Bachir

ADMINISTRATION • PRODUCTION TOURNEE • Juliette Marie

PRESSE  Agence • Plan Bey

CREDIT VISUEL • Nadir Legrand & Olivier Marty 

PHOTOS • Calypso Bacquey

 

 

PRODUCTION • L’Avantage du doute 

COPRODUCTIONS • La Ferme du Buisson, scène nationale -cinéma- centre d’art, le Quartz - scène nationale de Brest, le Théâtre Joliette Marseille - scène conventionnée art et création expressions et écritures contemporaines, le Lieu Unique, cultures contemporaines- scène nationale de Nantes, EMC Saint-Michel-sur-Orge 

ACTION FINANCÉE par la Région Ile-de-France, le Fonds de production et le fonds de création SACD.

SOUTIENS EN INDUSTRIE ET EN RESIDENCE • La Vie brève – Théâtre de l’Aquarium, La Villette, Paris, Théâtre Public de Montreuil - centre dramatique national, Théâtre de la Bastille – Paris, Théâtre de l’Atelier – Paris, la Ferme du buisson et la Maison des métallos.

 

L’Avantage du doute remercie

Babx, Elise Besnard, Paule Bonimond, Nicolas Bouchaud, Olivier Cadiot, Vinciane Despret, François Ernie et Stuck in the Sound, Frédérique Frite, Nina Gaillard, Bruno Latour, Benjamin Legrand, Lucie Marrel, Delphine Marty, Charlotte Merlin / La MC 93, Marion Mong-Linhardt, Le Théâtre de la Tempête, Léa Toul.


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After show.

Après le spectacle.

Après le show de la vie, après le jour.

Le spectacle de la vie s’arrête. Quand on baisse les masques, quand on baisse la garde et qu’on se retrouve nu, vulnérable, mais joyeux parce que un peu plus vrai enfin. Et alors on ouvre une porte, celle de la nuit par laquelle vont rentrer des bouffons, des fantômes, un singe qui a été obligé de devenir un homme pour ne pas être exterminé et peut-être la mort elle-même viendra faire son stand up tout ça en fanfare, en carnaval ! Et nous sommes au milieu de tout ça, tout démunis face à notre finitude mais ça ne nous empêche pas de le chanter avec passion.